L'électricité verte au prix juste
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Réduire la consommation d’électricité au sein de son foyer, c’est bien. Réduire la consommation d’électricité jusque dans les parties communes de son immeuble, c’est encore mieux ! Seulement, encore faut-il comment s’y prendre et par où commencer. Alors, si vous êtes en copropriété et souhaitez voir le montant de vos charges baisser, c’est par ici…
24 octobre 2024 à 11:40
Lecture 5 mn
Pour faire simple, la consommation d’électricité des parties communes désigne l’ensemble de l’énergie utilisée pour faire fonctionner les équipements collectifs d’un immeuble. Ces espaces partagés incluent généralement les couloirs, les escaliers, les parkings, les halls d’entrée, ainsi que des équipements comme les ascenseurs, les portails automatiques et les systèmes de sécurité. Eh oui, vous n’y pensez peut-être pas, seulement, ces éléments nécessitent une alimentation électrique constante pour assurer confort et sécurité à l’ensemble des résident·e·s.
Par ailleurs, les parties communes ne sont autres que les zones d'un bâtiment utilisées par tous·tes les occupant·e·s et qui ne peuvent être attribuées exclusivement à un·e seul·e propriétaire. Selon le règlement de copropriété, elles englobent aussi bien les espaces de circulation que les installations techniques ou encore les jardins et terrasses collectives.
Du coup, qui paie l'électricité des parties communes ? En copropriété, les frais liés à la consommation électrique des parties communes sont répartis entre les différents copropriétaires. Chaque résident·e participe donc au paiement de cette consommation via les charges de copropriété. La répartition des coûts peut varier selon les spécificités du règlement de copropriété (on y reviendra, pas d’inquiétude).
Pour résumer, la consommation d’électricité des parties communes représente une part importante des charges collectives d’un immeuble, et il est évidemment essentiel de bien comprendre son fonctionnement pour identifier les leviers d’économie potentiels !
Si en copropriété, il existe un bon paquet de postes de dépenses énergétiques, certains sont sans conteste plus gourmands que d’autres. La consommation d'électricité dans les parties communes d'un immeuble est principalement liée aux différents équipements essentiels pour le confort et la sécurité. Voyons plutôt…
Ça ne s’arrête pas là, puisque d’autres installations, comme les systèmes d'arrosage automatique, les bornes de recharge pour véhicules électriques ou encore les équipements de domotique, peuvent aussi contribuer à la consommation électrique des parties communes. Leur impact varie en fonction de leur nombre et de la fréquence d’utilisation.
La consommation d’électricité des parties communes est mesurée et facturée de manière spécifique, de façon à assurer une répartition équitable des charges entre l’ensemble des copropriétaires.
La répartition des charges liées à l'électricité des parties communes dépend du règlement de copropriété. Généralement, les coûts sont répartis entre les copropriétaires en fonction des tantièmes, c’est-à-dire la part que représente chaque lot (appartement, local commercial, etc.) dans l’ensemble de l’immeuble. Par exemple, un grand appartement au dernier étage pourrait payer une part plus importante que des studios plus petits au rez-de-chaussée.
Cependant, certaines copropriétés choisissent de répartir ces frais de manière différente, surtout lorsque certains équipements, comme les ascenseurs ou les garages, ne sont pas utilisés par tous·tes les occupant·e·s. Dans ces cas-là, le règlement de copropriété peut prévoir des ajustements pour mieux refléter l’usage réel des équipements par chaque résident·e.
La mesure de la consommation d’électricité des parties communes est assurée par un compteur d’électricité général, installé au niveau des installations collectives de l’immeuble. Ce compteur permet de suivre la consommation globale des équipements communs (éclairage, ascenseurs, systèmes de sécurité, etc.).
Dans certains immeubles, des sous-compteurs peuvent être installés pour des équipements spécifiques ou pour certains étages, ce qui permet ainsi une répartition plus précise des charges. Par exemple, un sous-compteur pourrait mesurer spécifiquement la consommation d'un garage ou d’un local technique, et les coûts associés pourraient être facturés uniquement aux résidents qui utilisent ces espaces.
L’installation de sous-compteurs peut aussi faciliter l’identification des sources de consommation excessive et aider à mettre en place des solutions d'économie d’énergie ciblées. Grâce à ces dispositifs, la copropriété peut mieux comprendre comment l’énergie est consommée et optimiser la gestion des charges collectives.
Il y a fort à parier que nous arrivions à la partie la plus intéressante de cet article, à savoir : l’argent ! Eh oui, rien de mal à ça après tout, nous voulons tous·tes savoir à quelle sauce nous risquons d’être mangé·e·s en matière de factures d’énergie !
On ne va pas passer par quatre chemins. Les charges d’électricité des parties communes sont payées par l’ensemble des copropriétaires de l’immeuble. Chaque propriétaire contribue au règlement de ces frais via les charges de copropriété, qui regroupent l'ensemble des dépenses liées à l’entretien et au fonctionnement des espaces communs.
Grosso modo, si vous vivez en copropriété, n’espérez pas échapper aux charges qui découlent des frais liés aux parties communes…
La bonne nouvelle, c’est qu’il s’agisse d’un logement individuel ou des parties communes d’une copropriété, il existe quelques astuces simples pour réduire la consommation d’électricité au quotidien. Ce faisant, chaque copropriétaire peut espérer voir diminuer les charges et également participer à une gestion plus écologique de son immeuble. Alors, voyons plutôt quelles options s’offrent à vous ?
Vous souhaitez voir le montant de vos charges de copropriété baisser, tout en faisant un geste pour la planète ? Sachez qu’en optant pour une offre d’électricité 100 % écologique et économique auprès d’Ekwateur, c’est possible !
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