Pour les pays, se mettre d’accord d’emblée a été un peu délicat (ce que l’on peut comprendre car nous avons tous des problématiques différentes). Par exemple, les pays en voie de développement se retrouvent freinés dans leur croissance par ces objectifs de développement durable ce qui leur semble difficilement acceptable.
Pour citer un second exemple, les États-Unis sont les premiers émetteurs de gaz à effet de serre (20% du total). Certains membres du parti républicain font preuve de climato-scepticisme et martèlent que le dérèglement climatique n’est pas d’origine humaine. De plus, ils avaient dans l’idée de mettre en place un permis d’émission qu’ils n’ont jamais ratifié et leur concurrence avec la Chine n’a fait qu’augmenter leurs émissions carbone. Difficile donc pour ce pays d’envisager un changement.
Néanmoins, au fil de plusieurs discussions et négociations, les différents pays ont commencé à s’entendre et à mettre en place un consensus collectif et international. Une belle preuve de solidarité 😉.
À présent, les ODD sont là pour tou.te.s. Tous les États de la planète, industrialisés ou en développement, doivent engager les moyens de la puissance publique pour réaliser ces objectifs. Toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, doivent jouer un rôle majeur dans cette transition. Toutes les collectivités locales, toutes les associations et tous leurs habitants. Ce cadre, qui regroupe tout le monde, nous permet à tous-tes d’agir à notre échelle pour aider nos voisins et notre belle planète sans pour autant nous sentir lésé-e-s. Les ODD ont tracé une feuille de route claire : l’Agenda 2030, qui est très largement partagé et qui propose des solutions concrètes à horizon 2030. Ce plan d’action assure une sécurité globale pour l’avenir de l’humanité et de la planète dont nous seront tous-tes bénéficiaires (eh oui, il ne faut pas croire que nos actes en faveur de notre planète n’ont pas d’intérêts pour nous, bien au contraire. Enlevez-vous donc cette idée reçus de la tête tout de suite 😉).
Plus personne (du mois en Europe) ne doute encore aujourd’hui de l’urgence climatique (ce qui est, selon nous, une belle prise de conscience).
On notera que le lien entre croissance et le niveau de consommation d’énergies est tel que toute menace sur l’approvisionnement énergétique des pays industrialisés s’apparente généralement à une atteinte à leurs intérêts essentiels. La question est d’autant plus sensible que la faiblesse des capacités disponibles est une source permanente de tensions sur les cours boursier et de menace sur l’activité économique et sociale.
Dans ce contexte, la promotion et l’accès à l’énergie renouvelable et propre sont plus que jamais nécessaires car elles offrent une première solution au défi de la transition énergétique. L’électricité verte, le biométhane ou encore le bois de chauffage (issu de forêts gérées durablement) ont une excellente empreinte carbone et peuvent contribuer à notre utilisation quotidienne de l’énergie que nous soyons un particulier ou un entreprise. Elles peuvent également répondre aux enjeux de mobilité (le développement des voitures électriques par exemple).
Chez Ekwateur, plus que jamais, on s’investit dans l’objectif 7 des ODD afin qu’il puisse être atteint à l’horizon 2030. Nous avons toujours été mobilisé-e-s en faveur de la transition écologique en vous transmettant tous nos conseils pour faire des économies d’énergie ou en vous offrant d’autres services/canaux de consommation (l’autoconsommation par exemple). Et nous ne lâcherons rien, car la planète est notre bien le plus précieux ! Vous pouvez compter sur nous ! 💪