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Quelle a été la plus grande canicule en France et quels départements ont été les plus touchés ?

L’une des conséquences les plus visibles (et les plus écrasantes) du réchauffement climatique, à ne pas confondre avec le changement climatique, ce sont bien les canicules. Ces épisodes de chaleur extrême deviennent non seulement plus fréquents, mais aussi plus longs, plus intenses… et plus mortels.

On en a tous connu une, parfois deux… ou dix. Mais au fond, quelle a été la plus rude ? Et quels départements souffrent le plus chaque été ?

Ces dernières années, la liste s’allonge vite. L’été 2023 a été l’un des plus chauds jamais enregistrés, et déjà en 2025, plusieurs pics de chaleur ont mis les organismes à rude épreuve comme fin juin…

Alors, on monte à bord de la Delorean Ekwateur (électrique, bien sûr) pour explorer les canicules historiques et comprendre comment s’en protéger, aujourd’hui comme demain. 🏎️

Ce qu'il faut retenir


Les canicules qui ont marqué l'histoire

Depuis qu’on mesure précisément les températures en France, on a observé près de 45 vagues de chaleur dans l’hexagone entre 1947 et 2022. Toutefois, on peut d'ores et déjà augmenter ce nombre puisque, depuis, les canicules n'ont pas cessé.
On pourrait souhaiter que ces événements restent exceptionnels, malheureusement, cela ne risque pas d’arriver, notamment à cause des gaz à effet de serre émis par les activités humaines. Au contraire, tout semble faire croire que ce phénomène va devenir de plus en plus récurrent.

1911, une canicule meurtrière

Si le monde et la France avaient déjà vécu des canicules avant, 1911 marque une date importante pour la météorologie en France. Des premiers jours de juillet à la mi-septembre, Paris est enfermé sous un dôme de chaleur. Plusieurs fois, le thermomètre indique des températures supérieures à 35°C qui concernent aussi plusieurs villes dans le pays et ne descendent pas en dessous des 30° C et ce, pendant plusieurs jours.

Mal préparée et peu au fait de l'importance de s’hydrater et des gestes à adopter pendant une canicule, la population souffre énormément et on recense alors 40 000 décès directement liés aux records de chaleur. Une hausse de la mortalité extraordinaire.

1947, une canicule historique

Juste après la Seconde Guerre mondiale, la France est frappée par une canicule qui ralentit la reconstruction du pays. Entre le 22 juillet et le 4 août, une grande partie du pays doit supporter des températures au-dessus de 40°C.
🗼A Paris, un record de température est battu avec 40,4°C. Ce record perdurera jusqu’en 2019, soit 72 ans, historique !

1976, une sécheresse qui laisse des traces

🏜️ Si les températures n’ont pas dépassé les 40°C (37, 38 ou 39°C dans certaines régions), la canicule de 1976 est réputée pour avoir durement touché le secteur agricole du pays. L'impôt sécheresse, visant à indemniser les agriculteurs pénalisés par le manque d’eau et la chaleur intense, sera d’ailleurs une des conséquences de cette canicule. C’est aussi un épisode meurtrier avec 6 000 décès directement attribuables à la canicule.

1983, Marseille s’embrase

🥵 La canicule de 1983 a particulièrement touché la région PACA. Dans la cité phocéenne, les températures étaient comprises entre 35 et 41°C avec des minimales à 28°C. Plus encore, pendant presque un mois (une vingtaine de jours), le thermomètre n’est pas descendu en dessous de 20°C ! En France, cette canicule provoquera, en tout, 4 700 décès.

2003, le tournant

En prenant en compte les températures et sa durée, la canicule de l’été 2003 est une des plus marquantes de l'histoire du pays. Et si elle est historique, c’est surtout à cause du nombre très important de décès enregistrés.

🪦 En effet, on parle ici de plus de 15 000 morts, en lien direct avec la canicule.

Pendant plus de quinze jours, entre le 2 et le 17 août, l’ensemble de la France est plongé dans une vague de chaleur intense. L’été est le plus chaud jamais enregistré depuis 150 ans, tant par les températures maximales que minimales enregistrées. Certaines stations météorologiques obtiennent des données record, avec des températures qui dépassent de 10°C la normale.

🔥Le 5 août 2003, la France connaît une journée extrêmement chaude avec 29,4°C en moyenne ! C’est la 2e journée la plus chaude jamais enregistrée en France.

🔍 Zoom : 2003, la canicule de référence

Encore aujourd’hui, l’été 2003 reste le plus meurtrier jamais enregistré en France, avec plus de 15 000 morts. Eh oui, même si 1911 a été particulièrement meurtrière, il n'était, à l'époque, pas possible d'isoler les morts liées à la canicule et cette année a observé une surmortalité globale. 2003 est donc la référence en la matière car même si le bilan global est plus faible il est également plus fiable. Cet épisode a profondément marqué les politiques publiques, la perception du risque caniculaire et la prise de conscience du lien avec le climat.

Il reste la grande bascule dans l’histoire des vagues de chaleur.

2015, un trio de canicules

Durant l’été 2015, la France a connu trois épisodes successifs de canicule, qui ont entraîné une surmortalité comprise entre +16 % et +17 % selon les estimations. Cela représente entre 1 700 et 2 800 décès supplémentaires, voire jusqu’à 3 300 selon les sources, en fonction de la période et de la méthode d’analyse utilisée.

2018, des températures record

La canicule de 2018 est la vice-championne des canicules françaises en termes de températures. C’est dans le nord de la France qu’elle sévit le plus sévèrement avec des températures moyennes de 2 à 3°C supérieures aux normales saisonnières.

2019, deux canicules d’affilées

L’année 2019 a connu une canicule très intense et une plus modérée. Heureusement, la première n’a duré que 5 jours !

Le 28 juin 2019, la France était un véritable four. Dans le sud de la France (l'Hérault, le Gard, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône et plus localement sur le Var et les Pyrénées-Orientales) on a enregistré des températures oscillant entre 42 et 44°C en moyenne. A Vérargues (Hérault), le record de température a même été battu avec un incroyable 46°C !

🚨Suite à cette période de forte chaleur historique, sera créée la vigilance canicule.

Fin juillet, rebelote avec une canicule de 6 jours dont le point culminant est le 25 juillet. Avec 29,4°C comme température moyenne dans l’hexagone, c'était la journée la plus chaude de l'histoire, à égalité avec le 5 août 2003.

2022, la canicule la plus longue dans certaines régions

Dans le sud de la France, autour de la Méditerranée et des Hautes-Alpes, cette canicule a duré 15 jours, ce qui constitue un nouveau record de longévité. Pire dans l'Hérault, la fournaise a duré 22 jours !

Le nord de la France n’a pas été épargné avec des températures surnaturelles comme 40,5°C à Rennes ou 42°C à Nantes ! Dans le sud-ouest, le 18 juillet, le thermomètre est monté à 42,6°C à Biscarosse.

2023, canicule tardive et été mondial record

L’année 2023 marque un nouveau tournant : selon Copernicus, juin à août 2023 ont été les trois mois d’été les plus chauds jamais enregistrés à l’échelle mondiale.
En France, une canicule tardive a frappé fin août et début septembre, avec des températures dépassant 43°C dans le Gard ou 42°C à Toulouse, alors que la rentrée approchait.

En tout, plus de 5 000 décès liés à la chaleur ont été recensés dans le pays selon Santé Publique France.
C’est aussi le 4ᵉ été le plus chaud jamais mesuré en France depuis 1900.

2025, des records battus dès le mois de juin

Pas besoin d’attendre août pour transpirer. Dès fin juin 2025, une vague de chaleur excessive s’installe sur le pays.

🌡️ Le 30 juin, la température moyenne nationale atteint 28,14°C, établissant un nouveau record absolu pour un mois de juin.

Le 1er juillet, la moyenne monte encore à 28,72°C, soit plus de 7°C au-dessus des normales saisonnières. 16 départements passent en vigilance rouge canicule, un niveau d’alerte inédit si tôt dans l’été.

Le 1ᵉʳ juillet, l’indicateur thermique national a atteint 28,2 °C, un niveau inédit aussi tôt dans l’été, et 16 départements ont été placés en vigilance rouge (1ᵉʳ–2 juillet).

Ce nouvel épisode pourrait bien annoncer une accélération inquiétante de la fréquence des canicules en France.

Les départements les plus touchés par les canicules (H2)

Pendant la canicule de 2003, même si toute la France était concernée, le sud a connu les épisodes les plus chauds.

  • Le 4 août, Montauban dans le Tarn-et-Garonne enregistrait une température de 41,8°C
  • Le même jour, Dax dans Les Landes et Bergerac en Dordogne constataient, quant à elles, des températures de 41,1°C
  • Quelques jours plus tard, le 12 août, on relevait à Orange dans le département du Vaucluse une température de 42,6°C

Autant de températures très élevées, qui peuvent s'expliquer par le climat méditerranéen du sud de la France. 

En effet, la température moyenne à Nice oscille entre 5 et 21°C pour les minimales, selon les saisons.

  • A Lille, la moyenne des températures minimales se situe entre 1 et 14°C. 

Comme il fait naturellement plus chaud dans le sud de la France, les épisodes de canicule y sont donc souvent plus puissants. Cependant, ce n’est pas toujours le cas. 

Ces dernières années, plusieurs canicules ont violemment touché le nord et l’ouest du pays, moins préparés que le Sud à de si fortes chaleurs.

  • En 2022, on a relevé 40,5°C à Rennes et 42°C à Nantes
  • En 2023, des pics de 42 à 43°C ont été mesurés dans le Gard, la Haute-Garonne ou la Drôme, mais aussi dans la Nièvre et le Loiret
  • En 2025, lors du pic de chaleur de début juillet, plus de 16 départements du centre et du nord sont passés en vigilance rouge (dont l’Eure-et-Loir, l’Yonne, l’Indre ou le Cher)

Ces épisodes montrent que le danger se déplace, y compris vers des zones non méditerranéennes. 

Habituées à un climat assez chaud depuis des millénaires, l’architecture comme la culture des régions du sud se sont adaptées. Lorsque les épisodes de canicule frappent des régions qui ne sont pas préparées à la chaleur, les températures très élevées sont encore plus difficiles à supporter.

A quoi s’attendre cet été ?

Sans surprise… l’été 2025 s’annonce encore une fois particulièrement chaud. Et il a déjà commencé très fort.

Dès fin juin, une vague de chaleur a frappé une grande partie du pays, avec 16 départements placés en vigilance rouge le 1er juillet, un record pour un mois de juin.
🌡️ La température moyenne nationale a atteint 28,7°C, soit plus de 7°C au-dessus des normales saisonnières.
Autrement dit : les canicules ne sont plus une exception, elles deviennent la norme estivale.

Et les semaines à venir pourraient bien suivre la même trajectoire.

Selon Météo-France, les probabilités de vagues de chaleur pour août 2025 sont élevées, notamment dans les régions déjà fragilisées par la sécheresse :

  • PACA, Occitanie, Nouvelle-Aquitaine ;
  • le Centre-Val de Loire et la Bourgogne, territoires moins habitués, mais de plus en plus concernés.

Les bulletins climatologiques récents confirment que l’été 2025 pourrait figurer dans le top 5 des plus chauds jamais enregistrés en France, confirmant une tendance déjà pointée du doigt par le consensus scientifique : le réchauffement climatique n’est pas un fantasme.

La canicule est aussi une conséquence du réchauffement climatique

Les rapports du GIEC sont formels : le réchauffement climatique est principalement causé par les activités humaines (industrie, transport, agriculture…) et les émissions de gaz à effet de serre (CO₂, méthane…).

Résultat : les épisodes de canicule sont plus fréquents, plus longs et plus intenses.

Selon Météo-France, ces 40 dernières années, la France a connu 6 fois plus de vagues de chaleurs estivales que durant les 40 années précédentes.
Avant 1989, une canicule survenait environ tous les 5 ans. Depuis les années 2000, on en observe presque chaque été.

Et ce n’est pas tout.

Des études d’attribution ont montré que les activités humaines ont multiplié par 200 la probabilité d’occurrence d’une canicule comme celle de 2019, et ont augmenté la température moyenne en France de +1,1°C en un siècle.

🔮 À ce rythme, selon les projections du GIEC et de Copernicus, la France pourrait connaître des étés avec 20 à 25 jours de canicule20 à 25 jours de canicule chaque année d’ici 2050 si les émissions ne sont pas réduites rapidement.

La transition énergétique pour lutter contre le réchauffement climatique

On le sait désormais avec certitude : les activités humaines sont à l’origine du réchauffement climatique, et donc de l’augmentation des canicules.
Pour inverser la tendance, il faut réduire massivement nos émissions de gaz à effet de serre. Et cela passe, entre autres, par l’énergie.

En choisissant une électricité verte issue de ressources renouvelables (solaire, éolien, hydraulique…), on produit moins de CO₂, par rapport  aux énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole).

Et concrètement avec Ekwateur ?

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✅ Ainsi, vous réduisez l’empreinte carbone de votre logement sans rien changer à votre confort.

Canicule : “On parle surtout du climat à l’occasion de catastrophes”, regrette François Gemenne

Dans cet épisode de Zéro émission, François Gemenne, professeur à HEC, chercheur et membre du GIEC, défend une idée simple mais puissante : le climat ne devrait pas être évoqué uniquement lors de drames, mais de façon continue et concrète. À l’heure où la France est frappée par une nouvelle vague de chaleur historique, il invite à “éteindre l’incendie” plutôt que de simplement “crier au feu”, soulignant l’importance d’une information nuancée, fiable et ancrée dans l’action quotidienne.
https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/zero-emission/canicule-on-parle-surtout-du-climat-a-l-occasion-de-catastrophes-regrette-francois-gemenne-9401368 

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Qu'est-ce que l'empreinte carbone ?

Comment lutter contre la canicule ?

En France, afin de lutter contre la canicule et ses effets néfastes, particulièrement sur les personnes âgées et les enfants, des organismes ont été créés et des protocoles mis en place. 

Ainsi, Santé Publique France et Météo France sensibilisent la population aux dangers de la canicule et aux moyens d’y résister.

Le dispositif ORSEC, permet de définir les mesures concrètes appliquées par les préfets.

En plus de cela, l'État a élaboré un plan d’anticipation des vagues de chaleur. 

Enfin, avec des prévisions de plus en plus précises, les vagues de chaleur peuvent être anticipées.

Que faire concrètement ?

La canicule est là, il faut donc agir concrètement pour soulager son organisme face à la chaleur ! Heureusement, il existe des astuces canicules qui aident à surmonter ces périodes extrêmes, comme rafraîchir sa maison sans clim, en la calfeutrant et en éteignant les appareils électriques non nécessaires qui produisent de la chaleur !

Se protéger pendant la canicule

  • Fermer les volets et les fenêtres en journée permet de bloquer la chaleur avant qu’elle n’entre. À l’inverse, aérer la nuit aide à faire circuler de l’air plus frais ;
  • Éteindre les appareils électriques inutiles réduit la chaleur intérieure, on oublie souvent qu’un chargeur branché ou une box allumée produit aussi des degrés en trop ;
  • Boire de l’eau régulièrement, même sans soif, reste essentiel : la déshydratation est l’un des premiers dangers, surtout chez les enfants et les personnes âgées ;
  • Un linge humide sur la peau, une douche tiède ou un brumisateur maison suffisent souvent à faire redescendre la température corporelle de plusieurs degrés ;
  • Et si vous avez un ventilateur, il peut devenir un véritable petit climatiseur artisanal… en plaçant simplement une bouteille d’eau congelée devant lui.

Réduire les causes à long terme

Limiter la fréquence et la violence des canicules passe aussi par des choix de fond.

  • Opter pour une électricité verte permet de réduire la part d’énergies fossiles dans le mix énergétique, et donc les émissions de CO₂ liées à votre logement ;
  • Réduire sa consommation d’énergie, en isolant mieux, en coupant les veilles ou en utilisant des appareils plus sobres, agit directement sur votre impact climatique ;
  • Privilégier les mobilités douces, les circuits courts et la végétalisation, contribue aussi à alléger votre empreinte carbone tout en améliorant le confort thermique local.

Protéger les plus fragiles

Lorsqu’il fait très chaud, les personnes âgées, isolées ou mal logées, sont les plus vulnérables. Prendre de leurs nouvelles, leur proposer un endroit frais, ou alerter les services sociaux en cas de doute peut littéralement sauver des vies. Et entre nous, pas besoin de cape pour être un héros de quartier, un verre d’eau et un coup de fil peuvent suffire. 😉

FAQ — Foire aux questions sur les canicules

Quelle est la dernière grosse canicule en France ?

La dernière grosse canicule remonte à fin juin – début juillet 2025. Elle a été marquée par des températures exceptionnelles dès le début de l’été, avec 28,7°C de moyenne nationale le 1er juillet, soit plus de 7°C au-dessus des normales de saison, et 16 départements placés en vigilance rouge. C’est l’un des épisodes les plus précoces et les plus intenses jamais enregistrés.

Quelle est la différence entre vague de chaleur et canicule ?

Une vague de chaleur est une période de températures exceptionnellement élevées pendant plusieurs jours, mais sans seuil précis.
Une canicule, elle, est définie par des seuils de température minimale et maximale dépassés pendant au moins trois jours consécutifs, variant selon les départements. C’est donc un terme plus strict, utilisé par Météo-France dans le cadre de la vigilance.

Est-ce que les canicules peuvent arriver en dehors de l’été ?

Oui, et c’est même de plus en plus fréquent. Des épisodes de chaleur hors saison, au printemps ou en septembre, ont été observés ces dernières années.
En mai 2022, certains départements ont dépassé les 35°C. Ces “canicules précoces” ou “tardives” sont plus difficiles à anticiper, car ni les habitats ni les comportements n’y sont préparés.

Les nuits sont-elles aussi concernées par les canicules ?

Absolument. On parle alors de “nuit tropicale” lorsque la température ne descend pas sous les 20°C. Ces nuits empêchent le corps de se refroidir, ce qui augmente la fatigue et les risques sanitaires, notamment chez les personnes vulnérables.
Et c’est un phénomène en forte hausse : certaines villes enregistrent plus de 15 nuits tropicales par été, alors que c’était rare il y a encore 30 ans.

Sources

https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/fortes-chaleurs-aout-2023 

https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/magazine/meteo-histoire/il-y-20-ans-la-canicule-2003 

https://vigilance.meteofrance.fr/fr/canicule 

https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/canicule-intense-et-durable-de-juillet-2022-que-faut-il-retenir 

https://www.meteo-paris.com/chronique/annee/1947
https://meteofrance.fr/sites/meteofrance.fr/files/files/editorial/dp-meteoFrance-ete-2025_0.pdf 

https://vigilance.meteofrance.fr/fr/canicule 

https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/climat/fortes-chaleurs-canicule/documents/bulletin-national/canicule-et-sante-en-france.-bulletin-du-2-juillet-2025


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